Jean-Luc Mélenchon et ses antisémites

Jean-Luc Mélenchon, leader du mouvement « La France insoumise », n’a pas jugé utile de suspendre sa campagne électorale lors du massacre d’enfants juifs à Toulouse en 2012, probablement par peur d’indisposer ses amis islamo-gauchistes.

Mélenchon a été accusé d’antisémitisme en 2013 par ses amis socialistes suite à des propos tenus contre Pierre Moscovici, alors Juif Ministre de l’Economie, Ministre juif de l’Economie, ou Ministre de l’Economie juive, on ne se sait plus bien.

Mélenchon vouait une admiration, et même un amour inconditionnel, à Hugo Chavez, président antisémite du Venezuela, allié à Ahmadinejad, ce leader iranien qui voulait rayer Israël de la carte et qui organisait des concours de caricatures anti-juives.

Danièle Obono, amie de Mélenchon et députée de « La France insoumise », exige de venir en Israël pour réconforter ce brave Marouane Barghouti, inoffensif palestinien incarcéré pour deux fois rien, n’ayant en tout et pour tout assassiné que quelques Juifs et un chrétien.

Au cours d’une grande émission politique de France 2 cette semaine, Mélenchon qualifiait Danièle Obono d’antisémite, histoire de montrer à quel point il avait de l’estime pour elle. Peu après il s’est rétracté, laissant entendre qu’il avait commis un lapsus. Mais que pense vraiment Mélenchon ? Ce qu’il voulait dire ? Ou ce qu’il a dit.

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